Samedi 25 Mars ; La provocation... (suite du 18 mars.)

Préface ;

Ceci est tiré du brouillon de la pseudo-dissertation sur les "Dangers Risques et Utilités de la Provocation", l'orignal se trouve chez le monsieur.
Étant grandement fatigué par mon implication dans le blocus de mon bahut, comprenez alors que, la construction de mes phrases ne soient pas ou peu structurée. Je n'ai fait que recopier bêtement ce que j'avais écrit, vous aurez alors mon travail "brut", avec les différentes émotions ressenties durant l'écriture de ce texte mais aussi les erreurs d'expression , très nombreuses vue la diversité des émotions et sous le flot énorme d'inspiration spontanée et plus ou moins périodique.

Ce n'est que le brouillon, et la quantité est souvent aléatoire selon la partie développée.

TEXTE .

Je n'aurai qu'un seul exemple pertinent en tête, qui est axé autour d'une certaine idée de l'éducation des foules ;
Caligula
, d'Albert Camus.

 

Utilité > Demande de liberté. > Combat pour une idée tout en gardant une notion de la limite. A signaler aussi que c'est une méthode violente mais pacifique. Ça reste sur le terrain des mots. Aucun mal physique et du point de vue moral, il est plutôt sage de connaître le tempérament des gens auxquels on s'adresse, c'est un jeu qui appelle a la violence , ou il faut avoir un recul profond connaitres les limites des gens, soumettre et tester leurs tolérances et leurs ouvertures d'esprit. La provocation ne doit pas être répréhensible sinon elle est digne des plus grands régimes totalitaires que nous avons connu par le passé. Si la personne provoquée, qui est en quelque sorte la victime, se défend, elle est perdue ; c'est pourquoi, il faut bien choisir les victimes et faire preuve de sagesse, tout en pensant au bien de autrui. Au cas ou la personne se défend, on peut alors sortir l'argument comme quoi c'est une atteinte aux libertés individuelles et/ou collectives d'expressions. La provocation bouscule les gens et visent a faire bouger les choses. C'est un moyen contre l'intolérance. Quelques exemples connus dans le passé ; Serge Gainsbourg - Marseillaise ou brûle billet.- Coluche - Présidentielles- Le luron- Mariage Homo (déjà -1981 il me semble) et ses imitations de F. Mitterand.-
Et une pensée pour le trio national de vrais anarchistes -Brassens-Brel-Ferré-.
La provoque constitue surtout une critique. Et nous devons accepter les critiques.

Bien sur, elle n'est pas sans risque mais elle est parfois et même souvent nécessaire et la répréhention constitue une certaine preuve du totalitarisme de certains. La provoc' assiste au réveil des autres esprits. Le risque de l'individu est nécessaire pour la communauté. José Bové avec ses OGM > action citoyenne pour le bien d'une communauté. Il contribue à l'élaboration de l'idéal collectif. Le jeu en vaut donc la chandelle car les populations y seront sensibles.

La relation entre mal et bien est constante. J'ai mené différentes expériences en "jouant" à différents rôles avec leurs relations et leurs caractères. > (SCHIZOPHRÈNE ! lol). J'ai donc quitté ma condition qui était trop sérieuse sans pour autant finir complément marginal. J'ai essayé divers rôles et j'ai conclu que ; "Nous sommes des 'animaux sociaux' et nous avons besoin de nos congénères pour vivre, tels les loups ou les moutons qui vivent en meute ou en troupeau.. Même si nous trouvons les autres écoeurants, nuls, minables [...], ou provocants. Nous nous devons de les découvrir et de les connaître. J'aimerai vivre en totale indépendance sans les autres mais on ne peut pas, car seuls nous perdons notre conscience, et puis la solitude est une activité très difficile. Nous avons besoin des autres."

"Ne loupez pas votre vie pour une sombre histoire de misanthropie, vous finirez triste, prenez l'amour et la fraternité, nous sommes tous frères, bande de cons."

J'ai atteint un équilibre, et cette phase de provocation marquait la fin d'une recherche d'attitude à adopter. J'estime que j'ai bien 'travaillé' et j'ai participé au réveil des esprits de mes camarades face à la passivité de masse anti-libertaire car il y a une propagande qui installe l'homme dans une espèce de satisfaction de soi-même dans une limite. Vous (monsieur) avez été un élément précieux et je vous remercie au nom de ma classe de jouer votre rôle de "méchant" tyran. Je ne suis pas un ermite, je veux une liberté mesurée et consciente... Nous construisons un idéal ensemble.
Je n'essayais pas de me racheter auprès de mes camarades, j'estime que je ne leur ai fait aucun mal et puis je me contrefou de ma réputation. Ayant été jadis colporteur du populisme, je puis dire par expérience que ce chemin-là ne mène qu'à l'échelle du pouvoir qui rend aveugle et méchant, c'est un nid de vipère. Prenez votre chemin de Damas et ne Déshabillez pas Paul pour habiller Jean (on se comprend.)
.

L'usage que je fais de la provocation est assée limité, je pense qu'il est lent et petit, l'enjeu n'est pas là. La provocation n'est qu'une étape du proccessus du reveil. Nous formons un certain duo ; nous sommes des acteurs d'une histoire, nous avons des rôles définis et néccéssaires. Je ne vous en veux pas au contraire. Par contre, je n'arrive pas à comprendre pourquoi vous inserez des infomartions érronées dans la lettre que vous m'avez envoyé le jour de mon anniversaire... Vous prenez trop votre rôle au serieux, et je pense que ce n'était qu'une démonstration de pouvoir.


Une des rares photos disponible de Noël Gaudin,
le célebre entarteur médiatisé mais caché...


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